"Amandine Beyer, elle, ne fait pas mystère de l’importance du corps dans sa manière de jouer, il suffit de la voir pour s’en convaincre. La pochette de cet album l’illustre, son texte de présentation le confirme, c’est la danse - Anne Teresa de Keersmaeker - qui l’a amenée à aborder ces Sonates du Rosaire, et elle les joue comme telles loin des canons liturgiques. Avec quatre violons différents (scordatura oblige), elle souligne les contrastes, les fulgurances et les chuchotements de ces sonates en liberté, joue sur les rythmes, apporte une couleur et une sensualité qui mènent au cœur même de la musique, et par là-même, en fait émerger ses accents surnaturels"
"[...] I can see myself returning to this set where other accounts have fallen by the wayside. Whether you're new to theRosary Sonatas or are familiar with as many accounts as I am, this one is worth hearing."